Nous rêvons...
Nous rêvons, nous nous rêvons, nous nous inventons, et le monde avec...
Toutes nos histoires ne sont que nos histoires, quelles qu’elles soient…
Au mieux elles nous procurent du plaisir, au pire leur lot de souffrances...
-« Que suis-je sans mon histoire ? »…
Rien, rien de spécial, je suis, simplement.
-« Et comment cet être, ce je suis, se ressent-il ? »…
Bien, simplement bien... pas « wouha » ni « Hahaha ! »
Doucement et simplement bien... sans nécessité, cause ou raison.
-« Qu’est-ce qui est le plus agréable ? »…
Ce je suis sans histoire, ce simple être ?
Ou le personnage revêtu de ses histoires ?...
En raccourci les choix de l’attention et de la conscience portée sont les suivants :
- soit l’être dans sa jouissance innocente, c’est simple,
- soit le personnage dans ses souffrances qu’il crée inconsciemment et instantanément en même temps que lui-même et ses propres projections. (voyez comme c’est vite compliqué !)
A cet endroit, c’est « Wouha » et Hahaha ! (encore faut-il être capable de reconnaître cet être au cœur des jeux du personnage…)
D’abord la reconnaissance, ensuite le travail !
« Conscience oblige ! »
YA.